par Le dernier espoir d’un podium s’évapore
Malgré la période très difficile traversée notamment en début de phase retour, la JSK a fini par reprendre les choses en main avec l’arrivée du duo Bahloul-Bensafi, qui ont réussi à provoquer le déclic. L’équipe qui peinait à marquer un but, a enchaîné avec deux victoires et un nul contre l’USMA. Trois bons résultats qui ont redonné de l’espoir aux joueurs quant à une place sur le podium. Cependant, l’équipe devait enchaîner avec d’autres victoires notamment à domicile pour atteindre l’objectif. Et le match qu’il fallait à tout prix gagner est celui du CSC, qui s’est joué samedi après-midi. Les Canaris qui étaient pourtant déterminés, ont été tenus en échec par la bête noire, qui pour rappel, n’a plus perdu à Tizi Ouzou depuis 17 ans. Un match nul qui met fin au suspense du moment qu’il est quasi impossible pour la JSK de finir la saison sur le podium. Les concurrents directs enchaînent les belles performances et la JSK se dirige vers une saison blanche.
Le CSC confirme en championnat, l’USMA aussi
La JSK a affronté, samedi soir, un véritable os qui réalise un parcours remarquable en championnat. Le CSC qui ne compte pas lâcher la deuxième place pour une participation en Ligue des champions la saison prochaine, a été très séduisant sur le terrain en créant beaucoup de danger n’était Rahmani, qui a sauvé son équipe de deux buts. De son côté, l’USMA, avec encore deux matchs en retard, réalise de bons résultats et devrait bientôt retrouver le haut du tableau. Des adversaires qui sont en nette progression et qui ne comptent pas lâcher le podium. La JSK doit malheureusement patienter encore tout en essayant de bâtir une grande équipe en prévision de la saison prochaine.
L’Entente ne lâche rien
L’autre équipe qui ne lâche pas aussi le podium, n’est autre que l’Entente de Sétif, qui enchaîne aussi les résultats positifs. Cela ne devrait pas jouer en faveur de la JSK, qui occupe actuellement la septième place et qui aura un match difficile à livrer, vendredi prochain, contre El Bayadh à l’extérieur.
S. D.
